Aujourd’hui, nous décidons d’aller nous balader du côté du campus d’UBC (University of British Columbia). Cette sortie a une résonance toute particulière pour Sylvain puisque c’est ici qu’il a étudié il y a plusieurs années… quand il était encore jeune et qu’il avait encore des cheveux. ^^ Session souvenir !
Pourquoi Aller Visiter un Campus?
Attention, UBC ce n’est pas n’importe quel campus. Déjà, c’est là que Sylvain a étudié donc on ne va pas le vexer hein ! Au delà de ça, UBC est un campus magnifique entouré d’une nature généreuse. On vous le garantit, la balade vaut vraiment le détour!
Le campus de UBC est une véritable petite ville dans la ville. On y trouve de tout : des restaurants, des cafés, des supérettes et même un Stapples. Bref, on peut tout à fait étudier à UBC sans avoir à sortir du campus… c’est d’ailleurs un peu ce qu’a fait Sylvain à l’époque où il était lui même étudiant à Vancouver.
Après avoir fait un tour à l’ancien labo de Sylvain et constaté que quelques-unes de ses œuvres d’art sont toujours présentes 7 ans après son départ, nous flânons sur le campus. L’environnement est superbe et donnerait presque envie de revenir sur les bancs de l’école.
On apprécie tout particulièrement la magnifique allée centrale, la bibliothèque et la roseraie… oui une roseraie sur un campus, pourquoi pas ? Il faut bien que les frais d’inscription astronomiques soient réinvestis après tout.
C’est également ici que vous trouverez le musée d’anthropologie de Vancouver (d’ailleurs rattaché à UBC). À considérer si l’on est fan d’anthropo’ ou s’il pleut, ce qui est souvent le cas à Vancouver.
Campus et Plage à UBC
Ce qui rend le campus d’UBC vraiment si exceptionnel c’est son accès direct à la plage via un petit sentier et une volée de marches à travers la forêt. Difficile alors de croire que l’on vient de quitter l’un des plus grands campus du Canada. Plus bucolique tu meurs !
Nous arrivons sur Tower Beach, une agréable plageounette mêlant sable et galets le tout bordé par des conifères. Nous apprécions particulièrement cette petite plage pour son calme et son côté sauvage. De là nous apercevons même un sommet enneigé au loin.
De Plages en Plages
Nous quittons UBC en longeant la plage jusqu’à Spanish Banks Beach, une autre plage très prisée par les Vancouvérites. On alterne entre un petit sentier ombragé et des portions de plages de galets. Un conseil : si vous décidez de faire cette balade, enfilez une paire de baskets ou de chaussures de marche. Les tongs et les galets ne font pas vraiment bon ménage.
Bon à savoir : quelques portions de plage le long de cette balade sont dédiées (mais pas réservées) au naturisme. Il est donc fort probable de croiser quelques nageurs à poil lézardant au soleil.
Spanish Banks Beach et le Pacific Spirit Regional Park
Arrivée à Spanish Banks Beach. On zappe la baignade pour cette fois, faute de maillots. Par contre on se prélasse au soleil un petit moment.
Le soleil commence à décliner quand on décide de rejoindre le centre-ville. Pour cela rien de plus simple : il suffit de rejoindre University Boulevard en traversant le Pacific Spirit Regional Park qui offre plusieurs sentiers de balades sympas, notamment le Spanish trail ou le Pionneer trail. Idéal pour jouer les prolongations natures avant de regagner le cœur de Vancouver.
Cette échappée nature à quelques encablures du centre-ville vous a plu ? C’est ça toute la magie de Vancouver : grimper dans un bus de ville et pouvoir s’évader en pleine nature le temps d’un après-midi.
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Dans tous les cas, Enjoy Vancouver !
Nostalgie !!! elle est partie la vingtaine hein Sylvain….. magnifique campus les étudiants doivent y être très heureux 😁😃
🤣🤣🤣 I feel board…
Voilà déjà une clé de votre irrésistible attirance pour Vancouver: l’accès rapide à la nature. Vous venez de l’avouer !
C’est vrai qu’avec des yeux de vieil européen, on trouve à cet environnement beaucoup de charme. Ca tient peut-être au beau visage de toute prospérité. La propreté, les investissements, l’entretien. Sur une base de nature déjà particulièrement généreuse, la réussite connaît forcément un cercle vertueux.
Ca devait être « sensible » de retrouver des choses familières huit ans après.Une éternité. Et pourtant je me souviens encore du vélo dans l’appart’ comme…
ouais…
On peut avoir intérêt à comprendre la topographie de la ville et de la région.
M’est avis que beaucoup d’autres photos de Vancouver nous attendent à l’avenir !
Une question indiscrète :
quelle dose d’abnégation et d’héroïsme faut-il pour travailler dans un tel cadre ?