Nichée dans les Andes à 3400 mètres d’altitude, Cusco est une charmante ville où il fait bon poser ses valises pendant quelques jours. Mais ce qui a surtout attiré notre attention à Cusco, c’est sa formidable Vallée Sacrée où l’on a découvert quelques-unes des plus belles ruines Incas du continent. C’est parti, on vous embarque pendant deux jours sur le route de la Vallée Sacrée.
Pourquoi Nous ne Sommes pas Allés au Machu Picchu ?
On va débuter par une petite parenthèse sur les raisons qui nous ont poussés à privilégier la Vallée Sacrée au Machu Picchu.
À la base, dès notre arrivée à Cusco notre objectif est de trouver une agence avec laquelle nous pourrons nous rendre sur le célèbre site en deux jours en bus.
Les agences, ces petits coquins…
Après quelques devis on sent vite le vent tourner. Les agences que nous avons sollicitées ont des avis catastrophiques sur internet et honnêtement ça ne nous étonne pas. Ils ont tous l’air d’amateurs… quand il n’y a pas écrit « escroc » sur leur tête. Bref, impossible de trouver une agence sérieuse à Cusco !

Nos doutes se confirment lorsque l’on discute avec le gérant d’une agence de trek réputée. Il ne peut pas répondre à notre demande puisqu’il est spécialisé dans les treks sur plusieurs jours mais il nous file quelques conseils pour optimiser notre visite du Machu Picchu. C’est là que l’on se rend compte que toutes les propositions que nous ont faites les agences n’étaient pas valables notamment en ce qui concerne les quotas et les créneaux à respecter pour entrer sur le site. On nous avait indiqué que l’on allait se lever à 5h00 pour entrer à 6h00 sur le site, or on découvre que le créneau de 6h00 à nos dates est déjà complet depuis belle lurette.
Conclusion : pas de Machu Picchu pour nous
En même temps on réalise que si on veut vraiment découvrir le Machu Picchu dans de bonnes conditions, ça va nous coûter un bras. Ça nous botte bien mais ce n’est vraiment pas une priorité. On revoit donc nos plans et c’est là que l’on décide de partir découvrir la Vallée Sacrée en solo.
La Vallée Sacrée, C’est Où, C’est Quoi ?
Ah ben c’est sûr que la Vallée Sacrée est nettement moins connue que le Machu Picchu mais elle n’en est pas moins intéressante.
Il s’agit d’un parcours reliant de pittoresques petits villages tous surmontés de sites archéologiques aussi impressionnants que fascinants. Si cette boucle s’appelle la Vallée Sacrée c’est tout simplement que ces villages se situent dans une belle vallée verdoyante entourée de montagnes. On a vu pire comme cadre.
Particulièrement fertile, cette vallée était donc un choix
stratégique pour les Incas. C’est pourquoi on y trouve aujourd’hui encore
autant de vestiges de cette grande civilisation.
Notre parcours nous a donc mené de Cusco à Ollantaytambo en passant par Chinchero, les salines de Maras et Moray. Puis nous sommes repartis le deuxième jour d’Ollantaytambo vers Cusco en passant par Pisac.

Faut-il passer par une Agence pour Découvrir la Vallée
Sacrée ?
En nous renseignant sur les prestations proposées par les agences pour visiter le Machu Picchu, nous en avons profité pour glaner quelques informations au sujet des tours pour la Vallée Sacrée.
Habituellement nous ne crachons pas sur les agences. Même si nous préférons faire les choses par nous-même (comme des grands ^^), nous savons reconnaitre quand prendre un tour en agence est plus intéressant que de partir seuls à l’aventure. Nous pesons donc toujours le pour et le contre avant de nous lancer dans un projet de visite en solo.
Verdict !
En ce qui concerne la découverte Vallée Sacrée, notre avis est sans équivoque : Faites le par vous-même !

C’est bien mieux et ce pour plusieurs raisons :
- Les sites de la Vallée Sacrée (Chinchero, Moray, Ollantaytambo et Pisac) sont accessibles grâce à un billet touristique valable deux jours et franchement, deux jours ne sont vraiment pas de trop pour tout visiter. Or les agences proposent des tours à la journée. Du coup on ne sait pas trop combien de temps on peut passer par site mais ça doit être très très rapide.
- La boucle est relativement longue. Enchainer autant de bornes en une seule journée peut être fatiguant. Certes tout faire en collectivos et en bus locaux est aussi assez sportif mais au moins les kilomètres sont étalés sur 2 jours et on y va à son rythme. D’ailleurs, les transports locaux sont tellement bien développés tout au long du parcours, que nous n’avons presque pas perdu de temps en transport.
- En proposant des tours à la journée, les agences sont forcées de sacrifier au moins un site sur la boucle, et ça, à notre avis c’est vraiment dommage.
- Ne serait-ce que pour passer une nuit dans le charmant village d’Ollantaytambo et flâner dans ses ruelles de bon matin, découvrir la Vallée Sacrée par soi-même est une meilleure option.
Organiser Son Parcours dans La Vallée Sacrée
Maintenant que vous êtes convaincus et que vous voulez partir à la découverte de la Vallée Sacrée par vous-même, il est temps de s’interroger sur le parcours à emprunter.

Puisqu’il s’agit d’une boucle, il est possible de le faire dans les deux sens : Cusco – Pisac – Ollantaytambo – Maras et Moray – Chinchero – Cusco ou l’inverse. En ce qui nous concerne nous avons opté pour le sens inverse : Cusco – Chinchero – Maras et Moray – Ollantaytambo – Pisac – Cusco.
À notre avis les deux possibilités se valent quoiqu’au cours du premier itinéraire, la deuxième journée risque d’être un peu chargée. Par contre au cours de l’itinéraire que nous avons choisi, notre temps de visite à Pisac était trop court car le site est gigantesque. Dans tous les cas, il faut faire des choix. Le mieux serait bien sûr que le billet touristique soit valable trois jours mais on ne peut pas tout avoir.
Jour 1 dans la Vallée Sacrée : Chinchero, Maras et Moray et Ollantaytambo
De Cusco à Chinchero
Nous quittons Cusco vers 9h en collectivo depuis l’angle de l’avenida Grau et la calle Pavitos en direction de Chinchero. Une heure plus tard environ nous arrivons à destination et nous dirigeons vers l’entrée du site archéologique en gravissant les petites ruelles escarpées du village.

Le site est superbe. Il y a des touristes bien évidemment mais c’est loin d’être la cohue. Nous parcourons les ruines pendant plus d’une heure avant de faire une pause empanadas et de repartir vers la rue principale.



De Chinchero à Maras et Moray
De là nous attrapons un bus pour Urubamba et demandons au chauffeur de nous déposer à Ramal de Maras. Il s’agit en fait d’un croisement un peu au milieu de nul part et c’est de là que nous allons pouvoir rejoindre les sites de Maras et de Moray.
Une fois descendus du bus, un chauffeur de taxi nous aborde. Il faut savoir qu’il n’est pas possible de se rendre à Maras et à Moray en transport en commun. Il existe bien un bus qui mène au village de Maras mais ce qui nous intéresse aujourd’hui ce sont les salines de Maras. Quant à Moray, les seuls véhicules qui y mènent ce sont les vans et les bus des tours organisés. Ce sera donc taxi ! En partageant le véhicule avec deux jeunes Japonaises arrivées presque en même temps que nous au croisement, nous parvenons à négocier le trajet sur les deux sites + l’attente du chauffeur sur chacun des sites pour 50 soles pour nous deux. Nos copines Japonaises quant à elles ne souhaitent qu’aller aux salines de Maras puis au village.
Les sites de Maras et Moray sont eux aussi des incontournables de la Vallée Sacrée. Près de Maras on admire un impressionnant ensemble de salines en terrasses (d’ailleurs toujours exploitées par la population locale).



Moray est un site archéologique Inca surprenant. Non, il ne s’agit pas de l’œuvre d’extraterrestre mais simplement de vestiges de terrasses destinées à l’agriculture.



De Maras et Moray à Ollantaytambo
Après avoir consacré 40 minutes aux salines de Maras et une petite heure au site de Moray, nous reprenons notre taxi qui nous dépose à Ramal de Maras, au bord de la route principale. Le timing est parfait puisqu’un bus est justement arrêté au moment où nous descendons du taxi. Nous grimpons aussitôt dedans, direction Urubamba.
Le bus nous emmène à la gare routière d’Urubamba en une vingtaine de minutes. De là nous prenons un van pour Ollantaytambo, notre point de chute pour la nuit. Encore une vingtaine de minutes et nous voilà arrivés à bon port.
Il ne nous reste plus qu’à trouver une chambre pour la nuit. Une fois chose faite nous bouclons cette journée intense par un apéro bien mérité sur le balcon d’un des nombreux bars-restaurants de la place principale du village. Ce que nous découvrons ici nous conforte dans notre décision de n’avoir pas avoir été au Machu Picchu. Un convoi incessant de bus et de vans en provenance du site traverse le village en direction de Cusco. Il est déjà 19h et les pauvres sont loin d’être arrivés… surtout vu le nombre de véhicules sur la route.
Bref nous sirotons tranquillement notre petite bière et clôturons la journée par un bon lomo saltado dans un petit restau juste en face de notre hôtel.
Jour 2 dans la Vallée Sacrée : Ollantaytambo et Pisac
La journée commence par un copieux petit déjeuner sur la terrasse de notre hôtel avec une vue imprenable sur le site archéologique d’Ollantaytambo. Une bonne petite mise en bouche !
Visite d’Ollantaytambo
9H00 : Nous quittons notre hôtel et nous attaquons à la visite du site principal. Nous y consacrons plus de 2H. Le site est vaste et nous décidons de monter tout en haut de la montagne qui le surplombe pour profiter d’un panorama fantastique sur l’ensemble des ruines, sur le village et sur une partie de la vallée. On recommande donc fortement de suivre les chemins en pointillés indiqués sur Maps.Me malgré l’absence de signalisation.





Vers 11H30 nous traversons le village en direction d’autres ruines situées sur le versant d’en face. Il faut savoir qu’Ollantaytambo est l’un des seuls villages d’Amérique du Sud dont le tracé est encore fidèle à celui de l’époque inca. Le centre est adorable avec ses petites ruelles et ses canaux. On conseille de prendre un peu de temps pour y flâner et s’imprégner de l’ambiance du village.


Une bonne grimpette nous attend maintenant pour atteindre les ruines de maisons incas construites à flanc de colline.

De là-haut aussi nous profitons d’une vue à couper le souffle, notamment sur les ruines du site principal, de l’autre côté de la ville.

D’Ollantaytambo à Pisac
Le temps file, il est déjà 13H, l’heure pour nous de prendre un collectivo pour Urubamba. Les vans se trouvent à l’entrée du marché Ollanta. En cas de doute, fiez-vous à Maps.Me qui indique l’emplacement correct des véhicules.
Arrivés à Urubamba, nous sommes pris d’assaut par les chauffeurs de bus, de collectivos et de taxis nous proposant tous de nous emmener à Cusco… Sauf que nous on veut aller à Pisac. On nous explique alors que les vans pour Pisac ne partent pas de la gare routière d’Urubamba mais d’un parking privé situé à une dizaine de minutes de marche, juste à côté de la banque BCP.
En effet, on y trouve un collectivo sur le départ. On grimpe dedans sans demander notre reste et débarquons à Pisac environ 1H plus tard.
Visite express de Pisac
Il est déjà 15H lorsque nous arrivons à l’entrée du site archéologique de Pisac. La dame à l’accueil nous informe qu’il est trop tard pour visiter les ruines, ou du moins qu’il nous reste très peu de temps. On est sceptiques mais on comprend vite pourquoi en jetant un œil au plan du site. Les ruines de Pisac sont gigantesques ! Il faut au minimum 4H pour visiter le site dans son ensemble.
Vers 16H plusieurs gardiens parcourent les différents sentiers pour inciter les derniers visiteurs à redescendre. Il nous reste donc un peu moins d’une heure pour en faire un maximum. En nous dépêchant (et en manquant de perdre un poumon), nous parvenons tout de même à couvrir un quart du site dont cinq points d’intérêt (tracé vert sur la carte).

Sur le chemin, on croise un Français qui nous indique qu’il est possible de monter tout en haut en taxi pour 30 soles (circuit rouge sur la carte) et redescendre tranquillement tout le long du site. Cette option peut faire gagner du temps mais pas de l’argent. À voir selon le budget et les envies. Sinon, on conseille globalement d’arriver à Pisac bien plus tôt que nous. Mais selon nous le problème reste insolvable. On ne voit pas comment il est possible de visiter exhaustivement Pisac et Ollantaytambo dans la même journée. Il faut donc rogner sur l’un ou sur l’autre au choix.




Il est 16H passé et le gardien nous a repéré. Nous commençons à redescendre vers le village. On a quand même réussi à gratter une bonne demi-heure de visite, héhé !




Nous rejoignons la route principale de Pisac et nous nous engouffrons dans le premier collectivo en direction de Cusco. Ce trajet d’une quarantaine de minutes marque ainsi la fin de nos deux jours de découverte de la Vallée Sacrée.
Une bonne pizza nous attend à Cusco. Mais avant, voici un récapitulatif des infos pratiques pour visiter la Vallée Sacrée par soi-même.
Informations Pratiques
Comment se déplacer dans la Vallée Sacrée ?
Trajet | Transport | Durée | Prix |
Cusco => Chinchero |
Collectivo (van) | 1H | 6 soles / pers. |
Chinchero => Ramal de Maras |
Bus local | 20 min | 2,5 soles / pers. |
Ramal de Maras => Salines de Maras => Moray |
Taxi | 20 min + 20 min + visites |
50 soles / 2 pers. |
Ramal de Maras => Urubamba |
Bus local | 20 min | 2 soles / pers. |
Urubamba => Ollantaytambo |
Collectivo (van) | 20 à 30 min | 2 soles / pers. |
Ollantaytambo => Urubamba |
Collectivo (van) | 20 à 30 min | 2 soles / pers. |
Urubamba => Pisac |
Collectivo (van) | 1H | 5 soles / pers. |
Pisac => Cusco |
Collectivo (van) | 40 à 45 min | 5 soles / pers. |
Où dormir ?
À Cusco
Une fois de plus, nous avons opté pour AirBnb. Nous avions une confortable petite chambre chez Eduardo et Kettlin, un couple adorable. Mention spéciale pour l’excellent petit déjeuner qu’ils vous préparent avec soin chaque matin.
Grâce à nos hôtes, nous avons fait le plein d’infos pratiques pour organiser notre découverte de la Vallée Sacrée. En bonus : de bonnes adresses pour bien manger à Cusco loin de la cohue touristique du centre-ville. Pas de panique, on les partage plus bas. ;)
À Ollantaytambo
Hostal Valle Inca : une chambre double avec salle de bain privative dans un petit hôtel simple mais confortable avec, normalement, de l’eau chaude. Comme souvent, Salomé, la poissarde de l’eau chaude, a pris une douche froide. Sylvain quant à lui a eu de l’eau tiède. L’hôtel propose également un petit déjeuner tout à fait correct pour 12 soles par personne. On a hésité et puis vu les prix des petits déjeuners partout dans le village on s’est finalement laissés tenter.

Où manger ?
À Cusco
On en a un peu marre des « adorables » petits
restaus pour touristes aux prix prohibitifs. Nous nous sommes donc laissé guidés
par Eduardo et Kettlin qui nous ont indiqué quelques bonnes adresses où eux
même vont manger régulièrement.
- Un poulet-frites (le plat national Péruvien ^^) : Top Chicken, une polleria où les choses sont simples. Au menu c’est poulet ou… poulet. Pour moins de 10 soles on a un roboratif poulet-frites donc on est contents.

- Une chifa : D’abord, c’est quoi une chifa ? Il faut savoir que les Péruviens ne mangent pas du lomo saltado à tous les repas. Est-ce que nous, Français, on mange du bœuf bourguignon ou de la blanquette tous les jours ? Non ! Bon, ben au Pérou c’est pareil. Les Péruviens sont particulièrement friands de nourriture asiatique. Les chifas ce sont donc des restaus chinois où les plats sont teintés d’influences culinaires péruviennes. Et il y en a partout, on vous le garantit. Nous avons testé la Chifa Villa Wo et on est ressortis le ventre bien rempli.

- Une pizza : Napolitana ( Av de la Cultura 1900, Cusco 08003, Pérou), une pizzeria qui sert de belles pizzas à pâte fine bien garnies. Ça change des énormes pizzas dégoulinantes de fromage industriel qu’on nous a servies jusqu’à présent, surtout en Argentine. Pour accompagner tout ça, on goûte au vino caliente. Et oui les Péruviens mangent leur pizza avec du vin chaud… et franchement c’est pas mal.

À Ollantaytambo
- Ima Sumac : un petit restau familial sans prétention qui propose un menu touristique à 15 soles. On est loin du menu à 5 soles du marché mais ça fait le taf. La soupe est délicieuse et le lomo saltado est correct. On avait clairement l’air de saouler la serveuse mais on ne se formalise plus au Pérou. C’est dommage car la dame qui nous a encaissés était quant à elle très sympa. #pérou

Où déguster une pâtisserie à Cusco ?
Encore une chose que l’on ne peut pas enlever au Pérou, ce sont ses délicieux gâteaux. Les pastelerias (pâtisseries) au Pérou, c’est comme les chifas : il y en a partout ! On recommande notamment :
- Pastelería y Restaurante Capriccio (Av. Jose Gabriel Cosio 207, Cusco 08003, Pérou) : un restaurant-pâtisserie plutôt gourmet mais la qualité est au rendez-vous. Pour 8 soles on a un bon gros morceau de gâteau au choix (carrot cake, cheesecake, tarte au citron, crumble aux pommes…). Accueil souriant et cadre agréable.

- Basilica (Av. de La Cultura 748 – A, Cusco 08000, Pérou) : plus populaire, donc moins cher mais avec des pâtisseries tout aussi savoureuses. Mention spéciale pour la torta tres leches au chocolat… une tuerie !!! Chez Basilica on trouve également du pain et des empanadas. Pratique en cas de petit creux.

Prix des activités dans la Vallée Sacrée
À Cusco ou directement sur les sites, il est possible d’acheter plusieurs types de billets touristiques qui donnent accès à un certain nombre de sites et musées partout dans la région.
Si comme nous vous souhaitez visiter la Vallée Sacrée en deux jours, il existe un billet touristique partiel qui inclut l’entrée sur les sites de Chinchero, Moray, Ollantaytambo et Pisac. Ce ticket est valide deux jours consécutifs et coûte 60 soles / personne.
Il n’est pas possible d’acheter individuellement les entrées des différents sites inclus dans un billet touristique. Par exemple, si vous ne souhaitez visiter que Pisac, vous devez dans tous les cas acheter le billet touristique partiel de la Vallée Sacrée.
Il est possible d’acheter le ticket à l’entrée de l’un des quatre sites ou à Cusco au bureau COSITUC, Galerías Turísticas, Av. El Sol N° 103 ou au bureau OFEC, Calle Garcilaso.
Il existe trois billets touristiques partiels selon les sites que l’on souhaite visiter mais aussi un billet touristique global qui donne accès à l’ensemble des sites et musées du coin. Retrouvez toutes les informations relatives aux billets touristiques de Cusco sur le site officiel du boleto turistico.
Pour visiter les salines de Maras, il faut acheter un ticket à part car le site est géré par la communauté locale. Le prix du ticket est de 10 soles / personne. Il s’achète directement à l’entrée du site.
Voilà pour les infos pratiques. On espère que cet article vous sera utile pour organiser votre visite de la Vallée Sacrée. Et bien sûr si vous avez des questions, des suggestions ou juste envie de faire coucou, n’hésitez pas à nous laisser un petit commentaire. ;)
En attendant on vous donne rendez-vous un peu plus au nord à Huaraz pour un séjour sportif.
Et si vous voulez en savoir encore plus sur le Pérou, retrouvez l’ensemble de nos articles par ici : Le Pérou c’est là !

Les photos de Maras et Moray sont époustouflantes !
La flore découverte sur Instagram n’est-elle pas une survivance du temps de dinosaures ?
Le défilé des vans aux pieds de la Pilsen est un régal.
La pizza avec du vin chaud, pourquoi pas ? Pourvu que personne ne tente une bière chaude.
La bière chaude on laisse ça aux Anglais !
Je partage totalement votre avis.
La bière chaude ? Voilà qui justifie le Brexit !
Spectaculaires réalisations des Incas!! Comment édifier de tels monuments au 15 ème siècle quelle science respect !
Oui, sachant que certaines pierres sont très lourdes et s’emboitent parfaitement les unes dans les autres.
On comprend le qualificatif de vallée sacrée : tous les sites sont sublimes. C’est visible à la fascination qui saisit mini-Biquette devant les terrasses de Moray et d’Ollantaytambo. Plus que jamais votre vocation de guides scrupuleux transparaît dans vos commentaires. Ca c’est de l’esprit « scout ».
Question orthographe et couleur locale, Pisac, ça va, ça pourrait être en Dordogne, mais pour les autres noms, je passe mon tour…
Les clichés alimentaires sont toujours aussi nourrissants. Un petit Alka Selzer et ça passe…
Au total, cette vallée sacrée, c’est une sacrée belle page !